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samedi 31 janvier 2009

Abracadabra...La Fée Crochette!

Abracadabra Abracadabri...Aujourd'hui on vous présente le démarche d'une fée recycleuse: la Fée Crochette qui n'est autre que la fondatrice de l'association ArtGens (voir l'article sur le Green-O-Blog)!Recycleuse par passion depuis fort longtemps cette fée nous invite dans son univers qui allie poésie, esthétisme et optimisme... "Ma réflexion autour du recyclage artistique a commencé depuis longtemps. La passion de transformer, de redonner vie à de la matière considérée comme morte est intégrée chez moi comme un processus logique. Avec le recyclage, la mécanique de création est inversée ; c'est le matériau, par sa forme, sa couleur, ses propriétés qui impose ses contraintes et me guide vers les idées.Il s'agit de regarder les choses de plusieurs angles de vue ; retourner, plier, couper, agglomérer, accumuler, nouer, coudre, tordre, tisser, crocheter... autant d'actions qui deviennent outils pour transformer les inconvénients en avantages. Mon travail se situe entre jeu et défi, il est le résultat d'explorations et d'interprétations de «déchets systématiques» : chutes de production industrielle, rebuts du quotidien auxquels je donne un autre sens. C'est comme partir à la recherche d'une solution qui semble ne pas exister, pour voir petit à petit se transformer la matière et laisser place à d'infinies possibilités.

Par ce travail de détournement, j'espère stimuler les esprits sur le regard neuf qu'il est important de porter sur ce qui nous entoure en montrant que le recyclage n'est pas nécessairement chimique ou compliqué à mettre en oeuvre, mais peut être simple et astucieux grâce à une intervention manuelle sur les matières. La finalité est d'insuffler une note d'optimisme aux vues des multiples solutions qu'il nous est encore possible de créer pour donner un peu d'attention et d'amour à notre magnifique jardin planétaire... "

Les prémices de son travail sur les déchets datent de l'année 1995 et depuis cette jeunes fée vole de projets en projets, comme entre autre la création de costumes et de décors de théâtre , la fondation de l'association Art Gens en 2002,la création d"Arc-en-sol"( patchwork géant de 43m² réalisé au crochet à partir de chutes de production)... Donc nous on a qu'une chose à dire chez Green-O-Rama: bravo bravo et encore bravo!!! Et si vous aussi vous êtes tombés sous le charme de cette "Féé Crochette" on vous laisse découvrir son site... Bon week-end à tous....

vendredi 30 janvier 2009

"Le scandale de la France contaminée"!


Ce soir un petit post pour relayer une info lue dans la presse et qui soulève la polémique: L'enquête de France 3 qui défend la thèse que des millions de tonnes d'uranium sont dispersées dans toute la France! Alors installez vous confortablement et place à la lecture:
"Le groupe Areva a annoncé jeudi son intention de saisir le Conseil supérieur de l'audiovisuel à propos de l'émission de France 3, "Pièces à conviction". Dans un communiqué, Areva, qui a eu connaissance par la presse de la teneur des reportages proposés, estime "pour le moins surprenant, voire contraire à la déontologie, que son point de vue soit présupposé et rendu public avant même qu'il ne se soit exprimé". Les producteurs de l'émission ont cependant prévu un entretien avec le porte-parole du groupe, qui doit être enregistré vendredi et inséré dans l'émission. Se référant aux informations de presse, Areva exprime "le sentiment que le magazine est d'ores et déjà bouclé, à charge contre le groupe Areva". Lionel de Coninck, rédacteur en chef de "Pièces à conviction", a assuré qu'il ne s'agissait "en aucun cas de présupposer ce qui va être dit dans l'émission". Selon lui, ce qui a été dit dans le reportage de la position d'Areva est "basé sur ce que dit Areva depuis des dizaines d'années sur le sujet".
Le sujet de la controverse : l'émission qui défend l'idée selon laquelle, en toute discrétion, dans nos campagnes, à proximité des villages ou des villes, des déchets radioactifs extrêmement dangereux ont été disséminés, ou ensevelis méthodiquement, depuis des dizaines d'années. Pire encore, ils ont parfois servi à construire des routes, des parkings, et même des logements, des écoles ou des aires de jeu pour les enfants, sans aucune mise en garde sur les risques encourus. C'est cette situation que France 3 évoquera dans son magazine "Pièces à conviction" le 11 février prochain. Avec une édition intitulée "Le scandale de la France contaminée".
Le magazine s'ouvrira sur un reportage à Gueugnon, en Saône-et-Loire. Sur le parking d'un stade, le détecteur de radiation d'un spécialiste de la Criirad (Commission de Recherche et d'Information Indépendante sur la Radioactivité) crépite à tout va. Là, sur une superficie de 12 hectares, près de 225.000 tonnes de déchets radioactifs ont été dispersés sur un terrain ouvert à tout venant. Ironie du sort, ce terrain a même accueilli un "parcours de santé". Gueugnon est "la toute dernière ville ayant découvert qu'elle était concernée par ce problème des déchets radioactifs", selon Elise Lucet, présentatrice du magazine.
Au total, selon les enquêteurs du magazine, entre 1945 et 2001 plus de 300 millions de tonnes de déchets radioactifs, résidus des 210 mines exploitées en France, ont été abandonnées sans mesure de protection ou de surveillance particulière. L'enquête fait également état de liens étroits entre ceux qui sont officiellement chargés de mesurer la radioactivité dans la nature et les anciens pollueurs. Négligence ou véritable "omerta" des pouvoirs publics ? Une pierre radioactive à la main en guise d'argument, Elise Lucet se propose de demander des explications à Jean-Louis Borloo, ministre de l'Ecologie, qui sera interrogé séparément.
Malgré le fait que les mines d'uranium françaises ne soient plus en activité depuis plusieurs années, cette pollution qu'il s'agisse de minerais "stériles" (trop pauvre en uranium pour devenir du combustible nucléaire) ou d'autres résidus de l'activité minière, peut s'avérer dangereuse à long terme, assurent les enquêteurs du magazine. Areva (ex-Cogema) soutient le contraire, estimant extrêmement improbable l'hypothèse d'une exposition prolongée évoquée par l'émission. Sa présidente, Anne Lauvergeon, n'a pas souhaité apparaître dans l'émission et a laissé à un porte-parole le soin de répondre à Elise Lucet lors du débat prévu sur le plateau. Anne Lauvergeon, d'autre part, sera récompensée par le trophée des "Créateurs sans frontières" pour son action en faveur du rayonnement de la France à l'étranger. Ironique pour quelqu'un qui participe à l'irradiation intérieure de la France.
Chez Green-O-rama nous avons vraiment été interpellés par le sujet de cette émission et nous avions vraiment envie de partager l'info avec vous, alors pour en savoir davantage sur ce sujet qui fait débat, rendez-vous devant l'émission le 11 février prochain... Et vous qu'en pensez-vous?
On attend vos réactions...

jeudi 29 janvier 2009

"Bouche Cousue", des créations éco design 100 % familiales...


Qui se cache derrière la marque Canadienne "Bouche Cousue"?... et bien se sont une mère et sa fille : Suzanne et Karine qui fabriquent plein de petites choses sympas et tout ça à base de récup et dans leurs ateliers... "Conçues avec soin et bonheur, leurs créations émergent de la rencontre de leurs mondes imagés respectifs, à la fois chaleureux, feutrés et brillants." "Tout a commencé avec des personnages que Karine Charlebois s'amusait à griffonner quand elle avait 14 ans.A la suite d'un conseil de sa mère, ses héroïnes ont pris formes sous forme de broches"..."aujourd'hui en plus d'être portées sur vos chapeaux, manteaux, sacs...,les Bouches Cousus de Karine décorent les portes monnaies et superbes coussins qu'elle fabrique avec sa mère".
Et parce que leurs coussins sont fait de tissus recyclés que les filles récupèrent de fabricants de sofas ou de vêtements, leurs pièces sont toutes uniques, et nous chez Green-O-Rama on aime bien ce principe de récup et recyclage... alors voilà on avait envie de rendre hommage à cette sympathique initiative familiale et il ne nous reste plus qu'à leur souhaiter une belle continuation Place aux photos...

mercredi 28 janvier 2009

Combien de temps faut-il à nos objets usuels pour se dégrader?

Chaque jour, nous utilisons une quantité non négligeable d'objets jetables que nous ne remarquons même plus tant ils sont ancrés dans nos habitudes. Pourtant, leur empreinte sur l'environnement est loin d'être aussi discrète que leur utilisation et souvent, pour quelques secondes d'usage, c'est des dizaines voir des centaines d'année qui seront nécessaire pour que ces objets se dégradent.
Green-O-Rama a donc décidé que son billet du jour, serait dédié à ces objets presque invisibles pour nous, mais pas pour la planète.
Mesdames et messieurs, place aux chiffres...

-Le Kleenex a besoin de 3 mois pour se désagréger.

-Nos vieux billets d'autobus prennent entre 3 et 4 mois pour disparaître.

-Le journal peut prendre 3 mois à disparaître ou il peut prendre une année complète.

-Selon divers facteurs, les écorces de fruits peuvent prendre de 3 mois à 2 ans pour se dégrader.

-Une allumette prend ½ année à se désagréger.

-Les vieux bas de laine prennent un an à disparaître.

-La cigarette avec filtre prend de 1 à 5 ans à s'en aller.

-Pour ce qui est de nos vieilles planches de bois, 13 à 15 ans seront nécessaires pour qu'elles se dégradent.

-Nos boîtes de conserve peuvent prendre jusqu'à un siècle pour se dégrader.

-Les briquets jetables prennent un siècle à disparaître.

-Une seule de nos canettes en aluminium prend de 200 à 500 ans à se dégrader.

-Chaussures en cuir, de 25 à 40 ans selon les conditions.

-Un simple petit Chewing-gum, et bien il lui faudra 5 ans pour disparaître.

-Nos sacs en plastique prennent au minimum 450 ans pour se dégrader complètement.

-Nos bouteilles en plastique prennent de 1 siècle à un millénaire pour disparaître.

-Les filets en nylon et les fils de pèche prennent 600 ans à se dégrader.

-Le polystyrène nécessite pas moins de 1000 ans à se dégrader totalement.

-Mais le premier prix pour la longitude revient aux bouteilles de verre, elles ne se dégraderont probablement jamais.

-Un sac en biopolymère à base d'amidon de maïs se dégrade en un peu plus de 3 semaines.


Les chiffres parlent d'eux même, voilà qui peut laisser perplexe...

mardi 27 janvier 2009

Ampoules basse conso. Doit-on s'en méfier ?


Aujourd'hui, nous avons reçu un e-mail d'un des responsables de ConsoGlobe, qui nous demandait de jeter un oeil sur un article écrit par Pauline et qui à pour sujet les ampoules a basse consommation.
Il se trouve que l'article est hyper complet et très intéressant, voilà pourquoi nous avions envie de relayer l'information dans le Green-O-Blog.


"Les ampoules basse conso, économiques et efficaces mais...

Les experts et les différentes études menées sont d'accord : à luminosité égale, une lampe fluocompacte (basse consommation) consomme de 4 à 6 fois moins d’électricité qu'une ampoule classique à incandescence. Comme le montre notre tableau des équivalences de puissance (watts), une ampoule fluocompacte (marque Electris) de 20 W éclaire aussi bien qu'une ampoule classique de 100 W pour une consommation d'électricité 5 fois moins importante.

Les économies d'énergie ont des conséquences non seulement sur l'environnement mais aussi sur notre facture :

* L’Agence Internationale de l’Energie a estimé que le passage mondial à l’utilisation de la lampe basse conso pourrait éviter l’émission de 470 millions de tonnes de CO2 en 2010.

*

Selon Récyclum, éco-organisme agrée pour l'élimination des lampes usagées, le remplacement d’une ampoule classique de 100 W par une lampe basse consommation de 20 W permet, tout au long de la durée de vie de la lampe, une économie d’énergie de 800 kWh, ce qui correspond à environ 88 € (au prix moyen de l’électricité de 0,11 € du kWh) soit plus de 2 ans d’éclairage gratuit !

Le surcoût (5 à 15 €) d'une ampoule fluocompacte est donc rapidement effacé par les économies d'énergie et les gains de remplacement d'ampoules, avec une longévité jusqu'à 15 fois supérieure pour certains modèles basse conso par rapport à leur équivalent classique.

les plus puissantes ont la meilleure efficacité lumineuse. Mieux vaut donc, si possible, une 10 W plutôt que deux 5 W.

Mais attention ! Plusieurs "bémols" sont à relever :

* Les différences de consommation affichées entre fabricants nous plongent dans une certaine confusion : certains disent obtenir une luminosité équivalente à une ampoule classique de 100 W avec des ampoules fluocompactes à 18 W, d'autres avec des "basse conso" à 20 W ou encore à 23 W. Les spécialistes préconisent cependant une correspondance minorée, d’un facteur 4 : pour substituer une “100 Watt incandescence”, choisir une “25 Watt fluocompacte”.



* La longévité n'est pas toujours conforme à ce qui est affiché, d'où des consommateurs parfois déçus. Pourquoi ? Les allumages / extinctions répétés restreignent leur durée de vie. Il faut donc éviter de les placer sur minuterie et ne jamais les brancher sur un variateur de lumière.

* Elles sont sensibles au froid : évitez de les placer dans des endroits non chauffés


Temps de chauffe, couleur... des étiquettes pour bientôt

Les mois qui viennent devraient voir un étiquetage plus complet des produits notamment sur le nombre de cycles d'allumage/extinction, la température de couleur et le temps de chauffe de la ­lampe.

Pour ces deux derniers critères, il existe en effet de grandes différences selon les modèles dont certains s'avèrent, il est vrai, un peu lents au démarrage et ambiance "néon" :

* S''il faut parfois attendre quelques secondes pour atteindre une lumière optimale pour certains modèles, vous pouvez en trouver aujourd'hui qui s'allument quasi instantanément. Les spécialistes recommandent qu’au minimum 40 % de l’intensité soit atteinte au bout de deux secondes, et 80 % au bout de deux minutes. Ces temps d’établissement sont généralement plus longs avec les modèles à bulbe.

* Au niveau de la couleur, il faut se référer à la «température de couleur», mesurée en kelvins (K) : plus la température est élevée (4 000 à 6 500 K), plus la lumière est froide et tire sur le bleu. À l'inverse, plus elle est basse, plus la couleur est jaune et chaude.

* Pour une couleur équivalente aux modèles à incandescence, il est conseillé de choisir plutôt une ­lampe de 2 700 K.

Leur composition : un danger pour la santé et l'environnement ?

Ampoule fluocompacte = déchet dangereux

La durée de vie des lampes basse conso peut être jusqu'à 15 fois supérieure à celle des ampoules traditionnelles, ce qui permet de limiter leur production et donc de réduire les volumes de déchets produits.

Mais soyons francs : elles ne sont pas pour autant "zéro défaut, 100% écolo". Nous ne pouvons omettre que les ampoules fluocompactes contiennent un quantité du mercure, certes minime mais à prendre en considération.
Car, à l’échelle des dizaines de millions de lampes arrivant en fin de vie chaque année, ce mercure peut s'avérer ­dangereux pour l'environnement s'il n'est pas correctement géré.

Une ampoule fluocompacte est donc considérée comme un déchet dangereux et il est impératif qu'elle soit ramenée chez un revendeur pour son recyclage.

Sachez que les distributeurs sont obligés de collecter les ampoules basse conso usagées, dont le recyclage est réalisé par l’organisme Recyclum.

Ondes électromagnétiques : des mesures de précaution

S'il peut être un danger pour l'environnement, le mercure contenu dans les lampes basse conso ne représente pas un risque direct pour notre santé.

Mais un autre débat sanitaire agite le "monde des lumières" : celui des ondes électromagnétiques qui seraient émises par les lampes basse consommation !

En effet, selon le Centre de recherche et d'information indépendantes sur les rayonnements électromagnétiques (Criirem), une pollution électromagnétique émanerait des fluocompactes mais à une distance inférieure à 20 cm.
Par mesure de précaution, le Criirem déconseille tout de même l'utilisation de ces ampoules en tant que lampes de chevet ou de bureau.

Pour y faire face, il faut souligner que certains fabricants ont d'ores et déjà placé un filtre anti-radiations..."

Vous trouverez l'article dans son intégralité sur le site ConsoGlobe, il est très bien fait et nous permettra d'y voir un peu plus clair au sujet des ampoules basse consommation!

lundi 26 janvier 2009

Thierry Jeannot, un éco-designer lumineux...

Alors pour ceux qui ne l'auraient pas remarqué, nous n'avons pas publié d'articles hier, et pour cause, nous étions coupés du monde, pris en pleine tempête avec des vents à près de 190km/h. Et oui, Green-O-Rama se trouve dans le département des Pyrénées Orientales, l'un des départements les plus touchés par la tempête de vent de samedi.
Résultat, pas d'électricité et donc pas d'ordinateur pendant 24 h...Mais ça y est tout commence à rentrer dans l'ordre ..Donc pour l'article d'aujourd'hui on a décidé de se réchauffer avec les créations de l'éco-designer THIERRY JEANNOT, qui vit actuellement au Mexique et qui travaille sur la récup et le développement durable.
Cet éco-designer créé notamment des luminaires à base principalement de bouteilles en plastique, et cela dans le cadre d’un projet social avec les enfants des rues de Mexico. Pour nous, les conditions sont réunies pour que le travail plastique de Thierry Jeannot soit entièrement en adéquation avec nos goûts et nos principes!
Mais comme les images valent parfois mieux que les longs discours, voilà quelques photos, pas de la tempête, mais des créations lumineuses et géniales de M. Jeannot.

samedi 24 janvier 2009

Lancement du satellite "Ibuki", pour mesurer les conséquences des gaz à effet de serre.


Hier, le Japon a réussi le tir d'une fusée vers l'espace, avec à son bord, un satellite chargé d'effectuer des mesures, et de récupérer des données importantes sur les gaz à effet de serre autour de la terre.
Les informations transmises par le satellite "IBUKI" devraient s'avérer d'une importance capitale pour la compréhension et la connaissance des effets causés par ces gaz sur notre planète.
Le satellite est équipé pour observer la présence des gaz à effet de serre (dont le dioxyde de carbone, CO2) et leur impact sur notre planète. "Il est nécessaire de mieux connaître le comportement de ces gaz", a expliqué la Jaxa, qui pilote ce projet aux côtés du Centre national de la recherche environnementale japonais. "C'est la première fois que l'on observera ces phénomènes depuis l'espace", a-t-elle souligné, rappelant que "ces dernières années, les conséquences des émissions de gaz a effet de serre sont rapidement devenues patentes", alarmant la communauté internationale.
Avec une impressionnante batterie de capteurs ultra modernes, Il permettra aux scientifiques de mesurer la densité de dioxyde de carbone et de méthane en analysant le rayonnement infrarouge de la Terre en 56.000 points de la surface du globe, y compris dans l'atmosphère au-dessus des mers, et devrait fournir les données les plus précises, car "Jusqu'à présent, on ne disposait de mesures que de 282 sites d'observation, tous basés sur les terres et la plupart aux Etats-Unis, en Europe et dans d'autres régions industrialisées", a indiqué l'Agence spatiale japonaise.

Peut-être pourrons nous en savoir plus sur les effets de ces gaz et ainsi prendre des mesures plus efficaces pour la préservation de l'environnement. Projet à suivre...

jeudi 22 janvier 2009

Un téléviseur "vert" qui s'éteint tout seul

Il y va quelques temps, l'équipe de Green-O-Rama vous proposait un article sur les problèmes écologique liés aux téléviseurs écrans plats.
Aujourd'hui, nous voulons vous parler d'un nouveau type de TV lancé par la marque japonaise SONY. Il s'agit d'un appareil "intelligent" qui dispose de capteurs et qui s'éteint tout seul lorsque personne n'est devant, mais cela ne s'arrête pas là car le dernier né de SONY semble avoir plus d'un tour dans son sac...

"Le groupe japonais Sony a présenté lundi à Tokyo une nouvelle série de téléviseurs à écran LCD qui consomment peu d'électricité et s'éteignent seuls lorsque personne ne les regarde. Le constructeur affirme que la consommation électrique de ses nouveaux modèles "Bravia V5" qui mesurent de 102 et 117 centimètres de diagonale, est la plus faible du marché. Cette consommation serait de 40% inférieure à celle de téléviseurs de gammes antérieures.
L'adoption d'un nouveau système de rétroéclairage serait à l'origine des performances de ce bijou de technologie. Le plus : ces TV sont dotées d'un détecteur de présence humaine couplé à une minuterie programmable. Si personne n'est devant l'écran durant un laps de temps prédéfini ou bien si le téléspectateur s'endort (donc devient inerte), elles se mettent en veille totale après avoir dans un premier temps simplement coupé l'affichage.
Ce n'est pas tout. Ces téléviseurs sont également capables d'ajuster leur luminance en fonction de l'éclairage de la pièce pour éviter là encore de consommer de l'énergie en pure perte. Enfin, ils sont pourvus d'un bouton qui interrompt le courant comme si elles étaient débranchées, contrairement aux interrupteurs des autres téléviseurs qui n'empêchent pas la consommation permanente d'un faible courant.
Selon des études gouvernementales, la télévision constituerait 10% de la consommation d'électricité d'un foyer japonais. En seconde position arrivent la climatisation et le réfrigérateur. Du coup, la consommation électrique d'un téléviseur est un facteur qui rentre en compte lors de l'achat d'un téléviseur. Pour sensibiliser l'acheteur à cet argument, les hypermarchés de l'électronique n'hésitent pas à placer un compteur à côté des téléviseurs allumés. Double intérêt : afficher la voracité électrique des appareils et permettre aux clients de comparer."

Si nous voulons être là pour mettre en relief les choses qui nous semblent négatives pour l'environnement, il faut aussi reconnaitre les efforts fait par certains constructeurs pour tendre à des évolutions technologiques positives. C'est chose faite avec cet article.

mercredi 21 janvier 2009

Elise Fouin une" éco designeur" passionnée!


Après les créatrices de "deux filles en fil", chez Green-O-Rama on avait encore envie de vous faire partager un autre de nos coups de coeur: la créatrice Elise Fouin. Alors qui est elle et que fait- elle?... Elise Fouin est une jeune créatrice sortit de l'école Boule, passionnée par le travail de la matière, elle travaille sur quatre principes de fabrication: le rembourrage, l'accumulation, le déploiement et le pressage. A travers son travail, "elle développe des mobiliers, luminaires, rangements,entre récupération et poésie, entre phase de recherche, d'expérimentation, de tâtonnement et de hasard. Enfant du développement durable elle cherche dans les déchets de la société ce qui demain pourra être beau,et valorise la matière dernière pour qu'elle devienne la matière première..." Enfin bref, Chez Green-O-rama, vous l'aurez compris c'est vraiment un de nos coup de coeur et nous avions envie de le partager avec vous...
Et vous, qu'en pensez vous? On attend vos réactions....

mardi 20 janvier 2009

"Deux filles en fil" des sacs éthiques, ludiques et uniques!!




La marque "Deux filles en fil", vous connaissez? Et bien à la tête de cette marque deux filles ( comme son nom l'indique), Claire et Karine qui crées pleins d'accessoires de mode "éthiques, pratiques et jamais identiques"!
"Installées dans le Maine et Loire, région réputée pour la fabrication de la chaussure et du textile, nous avons choisi de préserver le savoir-faire de ces secteurs dit sinistrés suite à de nombreuses fermetures et délocalisations d'usines.
Parmi les excédents des industries de la Mode, nous sélectionnons rigoureusement toutes les matières premières. Cette politique de récupération garantit aux chutes inutilisées et délaissées une seconde vie originale à travers nos créations.
"Plier, enrouler, clipser, zipper, scratcher, le tour est joué...!" Des accessoires modulables au design ludique, des formes, des couleurs, des textures, qui sans cesse renouvelées vous offrent une alchimie unique! "
Avec des noms comme "le sac Madame, " le beau parleur", "la repoudreuse",... Leurs créations nous invitent dans un monde où la poésie, l'esthétisme et l'éthique sont au rendez-vous...
Des sacs en kit que l'on peut monter soi même, en voilà une idée originale et si en plus la récup est au rendez-vous, on cautionne!!! Et pour toutes celles que le "montage en kit" pourrait rebuter pas de soucis, toutes les explications sont dispos sur leur site!!
En tout cas ,comme vous l'aurez surement compris, chez Green-O-rama on est tombé sous le charme de l'univers de ces deux demoiselles et nous leur souhaitons une longue et belle continuation...

lundi 19 janvier 2009

Une bouteille d'eau polluée mise aux enchères sur eBay!


Il y a quelques temps, nous vous avions parlé du désastre écologique que provoquait l'exploitation des sables bitumineux au Canada, et bien aujourd'hui, une des associations qui lutte contre ce problème a eu une idée bien sympa que nous avions envie de relater dans le Green-O-Blog: la mise aux enchères sur eBay d'une bouteille d'eau polluée!
Par cette action, l'association "Coalition jeunesse Sierra" entend alerter la population sur la gravité de la situation car l''eau contenue dans la bouteille provient de la riviere Tarabasca en aval des grands projets pétroliers de la province d'Alberta où se trouveraient plus de 174 milliards de barils de pétrole! "La mise à prix était de 0,78 dollar. L'enchère sur le site internet eBay avait dépassé vendredi les 87 dollars, soit plus de deux fois le tarif d'un baril de brut à New York. Il faut souligner que "Les enchères sur eBay sont ouvertes jusqu'au 22 janvier et que les produits de la vente serviront à financer une campagne dans les lycées et universités du Canada sur les impacts sociaux et environnementaux du développement foudroyant des sables bitumineux de l'Alberta".

Alors avis à tous ceux qui veulent soutenir l'action... Les enchères sont ouvertes!

dimanche 18 janvier 2009

Maurizio Lamponi, le design à l'italienne...

Maurizio lamponi, est un artiste italien originaire de Milan, et si l'on connait le travail remarquable des designers de ce pays, M. Lamponi ne déroge pas à la règle. Autant vous dire que son travail est de toute beauté, délicieusement vintage et complètement dans l'air du temps. Ses études de genie mécanique à l'université de Milan ne le passionnent guère mais il est évident qu'elles ont su laisser des traces sur les créations de Maurizio. Des objets d'une grande classe, aux lignes sublimes, mais ce qui retiendra surtout notre attention, se sont ces luminaires construit avec des pièces de scooters italiens des années 50 et 60. Guidons et phares de vespa ou encore de lambretta, restorés comme un collectionneur le ferait, s'incorporent à merveille dans un design à la fois très fin et mécanique. Bon, vous l'aurez compris, les créations sont toutes uniques et il est souvent très difficile de trouver les pièces necessaires à leur fabrication. En tout cas, Green-O-Rama lui souhaite de continuer à créer des objets aussi sublimes encore et encore... En attendant, on vous offre quelques photos qui valent vraiment le coup d'oeil!

samedi 17 janvier 2009

La semaine du developpement durable!


La semaine du développement durable, ça vous dit quelque chose? non? et bien une petite explication s'impose... Tout d'abord la date de l'évènement: du 1 er au 7 avril 2009, très bien me direz vous... mais en quoi cela consiste t-il exactement?

Cette opération a pour objectifs :

"-d’expliciter auprès du grand public la notion de développement durable

- d’inciter le grand public à adopter des comportements quotidiens favorables au développement durable
-d’apporter au grand public des solutions concrètes
-de valoriser le Grenelle Environnement et les mesures qui en sont issues

La Semaine du développement durable se place, cette année encore, dans la ligne du Grenelle Environnement, qui donne un sens nouveau à cette opération : outre la nécessité de provoquer une prise de conscience, qui a désormais eu lieu en France, il est nécessaire de donner au citoyen les moyens d’agir concrètement en faveur du développement durable."

"La Semaine du développement durable consiste en un appel à projets lancé par le ministère, à l’attention des différentes parties prenantes de notre société : entreprises, collectivités, associations, services publics et établissements scolaires sont invités à participer. Ces derniers sont encouragés à organiser, pendant la semaine du 1er au 7 avril, des manifestations de sensibilisation et d’information sur le développement durable (thème 2009 : la consommation durable).

Les participants inscrivent leur manifestation dans le cadre de l’appel à projets, via un formulaire d’inscription. Le ministère constitue un comité de sélection des manifestations ; les formulaires sont validés ou refusés selon qu’ils correspondent ou non aux critères de sélections.

Le ministère soutient les participants en mettant à leur disposition des outils de communication :
-sur un serveur, des outils de communication (logo, bannières animées, affiches, flyer…) imprimables sur imprimante de bureau ou via un imprimeur professionnel sont mis à la disposition des participants
-une exposition (dizaine d’affiches sur le thème) réalisée par le ministère et son agence de communication est envoyée par voie postale aux participants dont le formulaire a été validé

Lors de la 7ème édition de la SDD (1er au 7 avril 2008), près de 2700 participants (collectivités, associations, entreprises, établissements scolaires, services publics…) ont organisé des manifestations et se sont inscrits dans le cadre de l’appel à projets lancé par le ministère."

Alors si vous aussi vous avez envie de participer à cet évènement ou avoir plus d'infos sur le programme , On vous invite ,chez Green-O-Rama, à aller régulièrement consulter le site...

vendredi 16 janvier 2009

Eliza Gabriel, une créatrice haute en couleur!

alors pour ce soir, un article spécial fille et mode!!! Mais toujours avec un esprit recyclage! On vous présente donc les créations d'une créatrice brésilienne: Eliza Gabriel!
Cette jeune artiste qui vit à Paris depuis 20 ans "dessine, récupère, coupe, assemble, coud" pour donner naissance à des sacs,des tapis, des accessoires pour la maison...

"De son Brésil natal, Eliza Gabriel a gardé le réflexe de la récupération, du recyclage. « Chez moi, quand on veut quelque chose, on regarde d’abord ce que l’on a.» Du Brésil, la dame (volubile…) a repris les anciennes techniques d’assemblage et de couture. Fruit de ce travail de récupération et de recyclage, chacune de ses créations est une pièce unique."
Soucieuse de pouvoir conjuguer commerce et équité," Eliza Gabriel confie la production de ses créations à une coopérative de femmes de Taquaritinga (le village où elle est née). Le choix d’Eliza est donc esthétique, mais aussi éthique. Eliza conçoit et dessine à Douarnenez (sa tendre moitié est bretonne). Au Brésil, elle court les rues pour trouver la matière première de ses sacs – tous les objets sont fabriqués avec les chutes de tissus dénichées par la "senhora"–, et chaperonne les membres de la coopérative. Sous son œil bienveillant, Maria Rosa, Dinha, Juliana, Regina Camila, Cirça (et bien d’autres encore) coupent, plient et cousent.
L’important pour Eliza est de concilier recyclage, création et développement durable."
Donc en conclusion, chez Green-O-rama on est super fan de son travail qui on espère vous séduira aussi ...

jeudi 15 janvier 2009

Les écrans plats, possible problème écologique...


Bien que ces derniers temps, on parle beaucoup de baisse du pouvoir d'achat ou encore de crise économique, certains marchés restent florissant. C'est le cas des téléviseurs écran plat. Car, il y a quelques années, les fabricants de téléviseurs se sont retrouvés face à un défi colossal. Celui-là même qui enquiquine régulièrement tout industriel et menace son chiffre d'affaire : le renouvellement d'un parc - en l'occurrence de téléviseurs - saturé à 99 %. La solution, proposer une nouvelle technologie, qui pousserait le consommateur à changer son équipement. Aujourd'hui, les industriels du secteur peuvent se dire qu'ils ont tenu leur pari, car 5.6 millions d'écrans LCD et plasma ont été vendus en 2007, et on estime à 6 millions le nombre d'appareils vendus en France en 2008. Cette augmentation des ventes entrainera mécaniquement une augmentation de 64 % de la consommation électrique du parc national de téléviseurs. La faible consommation électrique de cette technologie d’écran est largement compensée par l’augmentation de la taille moyenne des dalles.
Car si ces écrans offre un design, une qualité d'image et un agrément supérieur à nos bons vieux écrans cathodiques (CRT), c'est sur le plan de l'écologie que le résultat n'est pas si convainquant.

"Mais ce qui est bon pour les affaires de l’électronique l’est pour l’instant beaucoup moins sur le plan de l’efficacité énergétique. REMODECE (Residential Monitoring to Decrease Energy use and Carbon Emissions in Europe), un projet européen, initié début 2006 et regroupant une douzaine de pays, veut enregistrer durant un mois les consommations électriques des nouveaux équipements audiovisuels d’une centaine de « foyer numérique » dans chaque pays : vidéoprojecteur, consoles, décodeurs, boîtiers ADSL... Les premiers relevés de cette vaste campagne de mesure, effectués à l’aide d’un wattmètre branché sur chaque appareil, attestent de l’impact des écrans plasma ou LCD.
La consommation d’un téléviseur ordinaire est en moyenne de 160 kWh par an. Avec les plasma ou les dalles LCD, on grimpe à 650 kWh/an. Donc ces nouveaux téléviseurs consomment 4 fois plus » constate Olivier Sidler du cabinet Enertech, en charge en France des mesures REMODECE. La consommation moyenne française d'électricité spécifique, qui comprend l’éclairage et les appareils électrodomestiques, est de l'ordre de 2500 kWh par logement. « Donc un écran plasma à 1500 kWh/an, comme nous l’avons vu dans un cas, c’est l’équivalent d’une personne en plus. Cela commence à être colossal. Sur un autre modèle, nous avons relevé une veille de 59 watts. A elle seule, cette veille consomme autant que le cumul des veilles des appareils possédés par un foyer, en 2003.

Avec les cristaux liquides, le problème reste le même. Dans l’absolu, la technologie LCD permet d’économiser de l’énergie, en consommant 3 fois moins d’électricité qu’un tube cathodique de taille équivalente. Mais lorsque la surface augmente, la consommation suit. Et elle s’envole dans le cas des « dalles » hyper grandes, comme celles aujourd’hui proposées aux dimensions d’un écran plasma."

Mais les problèmes liés à cette technologie se retrouvent tant en aval qu'en amont de cycle de vie.
Leur fabrication est très gourmande en énergie car “Plus un composant électronique est petit, et plus sa fabrication demande de l’énergie et génère des déchets” .
De même, il faut s'attendre à des problèmes pour gérer la fin de vie de ces écrans, car "en dehors de l’énergie grise et des déchets liés à la fabrication des écrans plats, “Il n’existe pas encore de technologie opérationnelle pour retraiter ces produits. En attendant, on les démonte et on stocke les dalles” explique Richard Toffolet, directeur technique d’Eco-systèmes, l’éco-organisme chargé de leur retraitement en France."

Voilà des infos que l'on se devait de relayer sur le Green-O-Blog, n'hésitez pas à laisser vos commentaires sur le sujet, le blog de Green-O-Rama est aussi un espace d'échange...

mercredi 14 janvier 2009

Francoise Roucoult, artiste plasticienne atteint de la "récupmania"

Bonjour à tous ! Alors aujourd'hui en se baladant sur le net on est tombé sur une petite vidéo bien sympa que nous avions envie de partager avec vous. Cette dernière décrit le travail d'une artiste plasticienne passionnée de récup : Françoise Roucoult. La philosophie de cette artiste nantaise nous a séduite chez Green-O-Rama et le travail de cette plasticienne est encore une preuve que tout peut se recycler pour donner naissance à de magnifiques créations...

Mais assez parlé, place à la vidéo ...on vous souhaite un bon voyage dans l'univers de Françoise!

mardi 13 janvier 2009

La télé se met au vert...

S' il est de bon ton, et c'est souvent justifié, de critiquer une télévision dont les programmes ne sont certes pas toujours de qualité, il faut aussi rendre compte des efforts de certaines chaines pour proposer mieux.
En ce qui nous concerne, c'est sur les programmes qui tournent autour de l'écologie et du développement durable, que nous allons nous attarder. Si ARTE propose déjà une émission sur l'environnement plutôt intéressante, "Nature, le magazine de l'environnement", c'est maintenant au tour de TV5 monde de lancer un magazine spécialisé dans les questions d'environnement.

"Pour son lancement le 29 janvier 2009 pour la France, la Belgique et la Suisse, « Ecran vert » abordera un sujet atypique : « La paix, la prévention des risques et le développement » : quel rapport existe-t-il entre le conflit et le développement durable ou entre la prévention et la gestions de crises et la mise en œuvre des mécanismes de développement ?

Apparemment ce sont des logiques qui n’ont pas de rapport. Pourtant c’est bien lorsqu’une société n’a pas maîtrisé son développement que le terreau est propice aux déclenchements de confrontations, de guerres civiles ou de crises régionales.

Pour illustrer cette problématique, le documentaire central de l’émission sera consacré à la région centre nord du Tchad où le conflit entre les agriculteurs sédentaires et les éleveurs nomades est au cœur des difficultés économiques et sociales du pays."

Suivront une série de reportages qui viendront compléter cette première enquête, notamment avec un sujet sur l’Afghanistan et la réimplantation du coton à la place de l’opium, un portrait de Martti Ahtisaari, prix Nobel de la Paix 2008 ‘’Le faiseur de Paix’’ , l’action d’urgence humanitaire mise en place par l’Union européenne en Côte d’Ivoire pour réinstaller 15 000 villageois dans leurs territoires et les PBI, les Brigades de paix internationales qui, depuis 25 ans, oeuvrent à la protections des droits humains et à la promotion de la non violence.

Sur le plateau, plusieurs invités venus de divers horizons viendront donner leur point de vue sur cette problématique :
Brice LALONDE : Ambassadeur de France chargé du réchauffement de la planète
Jean-Marie CAVADA : député européen (Commission des libertés civiles). Il a effectué de nombreuses missions à l’international, notamment sur les questions d’immigration
Jean-Bernard VERON : Responsable de la cellule prévention des crises à l’Agence française de Développement
Sabine FREIZER (International Crisis Group) : spécialiste sur la Géorgie et le Kosovo
Laurence TUBIANA : Responsable de l’Institut du Développement Durable et des Relations Internationales.

"Tous les mois, « Ecran vert » donnera un regard neuf et sans concession sur les enjeux du développement durable. Destiné à un large public, ce nouveau magazine mettra en avant les innovations et les initiatives concrètes qui permettent de comprendre ce qu’apporte aujourd’hui le développement durable dans ses dimensions économiques, sociales ou environnementales.

Illustrée par un documentaire de 26 minutes et plusieurs reportages, chaque émission abordera un thème spécifique lié au développement durable. Experts, acteurs politiques, animateurs d’ONG réunis autour de David Delos, journaliste à TV5Monde, viendront faire partager leurs réflexions et leurs convictions sur la problématique abordée.

Pendant 90 minutes, « Ecran vert » donnera à voir et à comprendre la vraie modernité du développement durable dans un esprit attrayant, pédagogique et toujours constructif. Par ailleurs, l’émission « Ecran vert » sera complétée par un site propre développé sur tv5monde.com qui enrichira l’émission avec des dossiers et de nombreux liens permettant aux internautes de dialoguer avec la chaîne autour de l’émission."

Voilà donc un programme qui semble intéressant, mais nous connaissons le format des émissions de télé, qui bien souvent malheureusement, se contentent de survoler les sujets, sans jamais vraiment révéler tous les aspects du problème traité.
Saluons tout de même les efforts de chaînes prêtes à aller vers des programmes aux contenus plus dense. Verdict le 29 janvier à 22h30 sur TV5 monde, pour la première d'ECRAN VERT...

lundi 12 janvier 2009

A Flots perdus, Sculptures-Objets en bois flottés et verres dépolis.


Il y a quelques temps, nous avons fait la connaissance au travers d'internet, d'un couple d'artistes d'Arles, leur union ayant donnée naissance au projet artistique "A Flots perdus – Sculptures-Objets en bois flottés et verres dépolis« La magie de l’inconscient alliée à la puissance des éléments naturels »"

"Notre travail est le fruit de la rencontre entre la côte d’Azur, lieu de naissance de Florence Rizzo où sont présents en nombre les verres dépolis et la Camargue, résidence d’Alain Rangon, véritable sanctuaire de bois flottés. En hiver, sur les plages sauvages provençales, nous glanons ces matériaux bruts de mer voués à disparaître. Respectueux de leurs formes sculptées par le temps et les éléments naturels, (eau, sel, sable et galets, vent, soleil…) nous les marions dans le secret de notre atelier pour que ce patrimoine - vecteur d’histoires énigmatiques - se métamorphose en œuvres d’art accessibles par tous car originellement offertes par la nature. Notre démarche s'inscrit dans la thématique du développement durable. Chaque pièce est marquée au sceau d'"A Flot perdus", numérotée et nommée. Chaque pièce est unique."

Empreints d'une sensibilité et d'une démarche à la fois proche de l'environnement et de la poésie, les deux artistes glanent sur les plages les matériaux dont ils ont besoin pour leurs créations. Bois flottés et verres dépolis sont ainsi récupérés l'hiver au grès des inspirations, avant de subir les transformations tenues secrètes par Alain et Florence, et de se métamorphoser en oeuvres sublimes.

"Ces matériaux de provenance inconnue sont des nomades porteurs du mythe des grands voyageurs liés à la mer… l’aventure sans frontière, la liberté tout autant que l’exode. Leurs périples aux longs cours - de l’usure à la fracture - sont métaphores de l’existence humaine, de ce qu’il faut se délester pour parvenir à l’épure, l’équilibre, la sagesse.
Aux confins… à la lisière, entre liquide et solide, ces « bouts » d’environnement sont voués à disparaître dans le corps des dunes ou sous les lits de galets. Le glaneur change le cours de leur destin."

Des créations qui sont réalisées à quatre mains, et décrites par les artistes comme " des passerelles entre féminin et masculin, nature et humain, mer et continent, patrimoine et modernité."

Avec pour projets d'exposer, de révéler et de mettre en valeur le potentiel créatif de ces matières au travers de leurs œuvres mises en scène dans un espace poétique, de valoriser ce patrimoine et de sensibiliser un large public à la protection d’espaces naturels qu’il faut préserver, et le désir de s’exprimer dans la création artistique d’une manière différente en utilisant les matériaux « bruts de mer », A Flots perdus, s'inscrit exactement dans le type de démarches artistiques que Green-O-Rama soutient de tout coeur.
Et cette envie que ce couple d'artistes a de sensibiliser un large public au fait qu’on peut créer ses propres objets avec ce qui est donné par la nature, nous plait beaucoup!
Nous leur souhaitons donc de longues heures de promenade sur les plages et comme ils le disent eux-même, "donner du temps au temps pour créer en toute sérénité."


A Flots perdus
F Rizzo & A Rangon
14 rue Théo Rigaud
13200 Arles – Provence – France

Tel : 06 61 19 59 47
Email : aflotsperdus@hotmail.fr

Site : http://www.bois-flottes.com
Site : http://www.myspace.com/aflotsperdus

dimanche 11 janvier 2009

le discours à l'ONU sur l'environnement!

Ce soir, nous vous présentons une petite vidéo sur le discours à l'ONU sur l'environnement ou comment une jeune fille de 14 ans remet à leur place les dirigeants du monde!!!

Nous tenons à remercier tout particuliérement Xavier de nous l'avoir fait découvrir en nous l'envoyant via facebook...

Alors attention, installez vous confortablement et ouvrez grands les yeux et les oreilles, ça vaut le détour.... On attend vos réactions!

samedi 10 janvier 2009

Une "montre verte" pour mesurer la pollution!

Ce matin , en ce baladant sur internet, on a trouvé un projet intéressant que nous avions envie de partager avec vous: la création de montres vertes pour mesurer la pollution sur la région parisienne !

Alors de quoi s'agit-il? et bien tout simplement"en apparence, une simple montre. En fait, un dispositif pour faire de n'importe quel quidam un acteur à part entière de la mesure de la pollution. D'ici la fin de l'année, une "montre verte" devrait ainsi équiper les poignets de Franciliens, des habitants de Paris intra-muros, des employés municipaux de Montreuil et des chercheurs ou étudiants de Saint-Denis. Le projet a été présenté jeudi par la Fondation Internet Nouvelle Génération.
Sur chaque bracelet, seront fixés un capteur de CO2 pour mesurer la pollution de l'air, un capteur de bruit pour traquer la pollution sonore et une puce GPS pour localiser l'utilisateur. La montre captera les informations, à un rythme régulier, et les stockera. Elles seront ensuite rendues anonymes avant d'être analysées et surtout recoupées pour être affinées.
Car si le nombre de capteurs environnementaux sera ainsi multiplié par 1.000 dans une ville, la qualité des mesures sera inférieure et viendra donc en complément des relevés d'organismes spécialisés comme Airparif en Ile-de-France.
Les premiers prototypes seront prêts en juin. Dans un premier temps, l'objectif est de distribuer au moins 200 montres par ville où le système sera testé. C'est déjà le cas, hors des frontières de la France, à Londres, New York ou encore San Francisco. Aux Pays-Bas, des capteurs similaires seront installés... dans des écharpes."

Chez Green-O-Rama, on a trouvé ce projet intéressant mais nous sommes partagés car ce systéme aussi noble soit il peut vite arriver à des dérives car il s'agit aussi d'un système Gps qui permet de savoir où vous êtes en temps réél,alors projet à suivre attentivement...Et vous qu'en pensez vous? on attend vos réactions...

vendredi 9 janvier 2009

Isabelle Teste, une éco-designer haute couture.


Aujourd'hui on a décidé de vous présenter une éco-designer qui travaille sur la récup et le recyclage du plastique et qui propose de belles créations, tout à fait branchées et très colorées.
Elle s'appelle Isabelle Teste, et après 7 ans passés dans la publicité en tant que directrice artistique, elle tourne spontanément la tête vers les chapeaux.
Avec son C.A.P. de modiste en poche, elle décide de se consacrer à un métier qui exige beaucoup de rigueur tout en laissant libre cours à son esprit créatif. Après des débuts chez Motsch pour Hermes, travaille pour le Lido, l'Opéra de Paris puis chez Marie Mercié et d'autres créatrices de chapeaux habillés. Mais, c'est surtout chez Chéri Bibi que la magie opère et c'est le déclic lorsqu'elle réalise des pièces spectaculaires pour les collections haute-couture de Christian Dior ou Thierry Mugler.
C'est à cette période qu'elle décide de créer ses propres modèles, notamment pour la pluie, à partir de matières originales et décalées. Très vite, le recyclage s'impose comme une façon amusante de coiffer les têtes en récupérant toutes sortes de matières courantes comme les rideaux de douche ou le bullpack.
Ses chapeaux en récupération de sacs en plastique sont exposés à la première édition d' "Ethical Fashion Show" en 2004, et finalement, elle est sélectionné à la biennale du design de St Etienne version 2008 avec des pièces plus monumentales lui donnant envie de se tourner vers l'événementiel.
Isbelle Teste, affiche avec ses créations, des convictions écolos optimistes et pleines de couleurs. Créatrice un brin décalée, qui lutte sans se prendre au sérieux contre les excès de l'hyper consommation et du gaspillage, Isabelle Teste a tout pour nous plaire chez Green-O-Rama, on espère que vous aimerez aussi...

jeudi 8 janvier 2009

les étiquettes carbone bientôt sur tous nos produits?

Ce matin en lisant la presse on est tombé sur une info que l'on a jugé plutôt intéressante et que l'on a eu envie de relayer dans le Green-O-Blog: les étiquettes carbone.

"Des étiquettes carbone bientôt sur tous nos produits... mais comment on va s'y prendre ? Le texte de loi Grenelle 2 présenté ce matin en Conseil des ministres. Une disposition très concrète, très quotidienne, c'est l'affichage carbone qui sera bientôt obligatoire. L'étiquetage carbone, c'est la signature de l'empreinte écologique d'un produit. Et autant le dire tout de suite, c'est un vaste, un énorme chantier qui s'ouvre. La loi Grenelle 2 prévoit que dès janvier 2011, dans deux ans, certains produits devront afficher leur équivalent carbone. Alors attention, rien à voir avec la consommation d'énergie d'un frigo, ou les rejets de CO2 d'une voiture. Ce futur étiquetage, c'est : combien carbone a été rejeté pour que ce produit pour qu'il arrive jusqu'à vous... Et il va donc falloir se lancer dans des calculs très compliqués... dans ce qu'on appelle l'analyse du cycle de vie d'un produit... Une grande enseigne, en France, s'est déjà lancée dans cet étiquetage. C'est Casino, qui étiquette déjà une centaine de produits. Plusieurs facteurs sont pris en compte. Exemple, pour un produit alimentaire : - le carbone dépensé sur l'exploitation agricole - lors de la fabrication - on ajoute le transport - et on n'oublie pas l'emballage. Le résultat est exprimé en grammes de CO2 pour 100g de produits ; le tout présenté sous forme d'un petit curseur sur une échelle, pour qu'on puisse comparer. Autant dire qu'il y a des emplois à la clé, pour inventer ces étiquettes... et certains rêvent déjà qu'elles puissent servir, à plus long terme, à la généralisation du bonus malus."

Et pour plus d'infos rendez-vous sur le site du ministère du développement durable.

mercredi 7 janvier 2009

Lyon, une ville qui met le cap sur le développement durable.


Lyon semble faire des efforts en matière d'environnement et cherche à se positionner en capitale du développement durable. La ville propose d'ailleurs de nombreux évènements autour de ce sujet, et Green-o-Rama vous tient au courant du programme pour les jours à venir.
Les 5èmes Assises Nationales du Développement Durable s'y tiendront sur trois jours, du 19 au 21 janvier 2009, autour d' animations, d'ateliers, de rencontres et de débats, "pour questionner les différentes formes de la richesse et établir ce qui compte vraiment pour nous !".
Les assises "veulent démontrer que malgré la complexité des questions posées par la crise économique, sociale, environnementale et démocratique, des perspectives existent. "
La première journée sera axée sur le thème "état des lieu", la seconde sur le thème "interrogations" et la dernière sur le thème "préconisations". Vous pouvez obtenir le détail du programme sur le site en téléchargeant le PDF sur ce site.

Et puis notons aussi, proposée par les quatre chaînes locales de Rhône-Alpes et soutenue par la Région, l'émission AGORA consacrera son troisième numéro au développement durable à l'occasion des 5èmes Assises nationales du Développement Durable. Elle sera diffusée le jeudi 15 janvier à 21h, simultanément sur TLM, téléGrenoble, TV8 Mont-Blanc et TL7.
L'enregistrement aura lieu en public au Palais du Commerce (Lyon), le mercredi 14 janvier de 19h à 20h.

Et enfin, parce que c'est le moment de montrer votre engagement en tant qu' "éco citoyen" et de sensibiliser toute une génération au développement durable. Sortez vos téléphones portables, appareils photos ou mini caméra, et durant trois minutes, laissez libre cours à votre imagination, soyez créatif inventif et écolo ! Be Green c'est le premier festival français du pocket film sur le développement durable, et vous avez jusqu'au 10 janvier pour envoyer votre vidéo. Une sélection des meilleurs films sera présentée à Lyon les 19,20 et 21 Janvier 2009 dans le cadre des 5e Assises Nationales du Développement Durable. La remise des prix, en partenariat avec la Région Rhône-Alpes, se fera en direct lors d'une soirée festive, le lundi 19 janvier.


Voilà pour l'info, ça bouge bien sur Lyon, alors à vous de jouer!

mardi 6 janvier 2009

Exposition "Running the Numbers, an American Self Portait"

"Running the Numbers, an American Self Portait" expose une serie de photographies artistiques de Chris Jordan.
Jordan est un artiste engagé, qui vit à Seattle, dans l'état de Washington aux Etats-Unis, né de parents artistes, Il a fait une école de droit et travaillé 10 ans dans ce domaine. Parallèlement à cela, il investit tout son argent et son temps libre pour faire ce qu'il aime vraiment, et ce qui lui plait c'est de faire de la photo! Jusqu'au jour où il devient artiste photographe à plein temps.
C'est surtout pour ses grandes oeuvres sur les enjeux du consumérisme de masse occidental que Jordan se fait connaître. Il compose des images qui mettent en relief l'énormité de certains chiffres, en passant par des représentations des grands nombres, qui ne sont pas compréhensible par le cerveau humain lorsque présentés par les statistiques pures.
C'est le cas de l'exposition "Running the Numbers, an American Self Portait", qui met en lumière les millions d’objets qui s’accumulent dans la planète, bien au-delà de notre vue.
Comme chez Green-O-Rama on aime l'art et les enjeux écologique on ne résiste pas à vous montrer une partie de "Running the Numbers, an American Self Portait".
A noter, que les chiffres donnés ne représentent que la part des Etats-Unis et pas du monde entier!

Environment
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lundi 5 janvier 2009

Portugal: la plus grande centrale solaire au monde!

Il y a quelques jours, nous vous avions parlé de la plus grande centrale solaire de France, située sur la commune de Narbonne, dans le Languedoc-Roussillon, et bien aujourd' hui voilà un article sur la plus grande du monde.

La centrale solaire d'Amareleja, présentée comme "la plus grande au monde", a commencé à fonctionner à plein régime dans le sud du Portugal, et cela depuis le 23 décembre, fournissant l'équivalent de la consommation énergétique de 30.000 foyers. Amareleja est connu au Portugal pour être le village le plus ensoleillé du pays. La centrale avait commencé à produire de l'énergie de manière partielle en mars 2008.
Avec une puissance totale installée de plus de 46 MW, la centrale produira 93 millions KW/h par an, permettant ainsi d'éviter l'émission de plus de 89 tonnes de C02 par an.
Cette unité, d'un investissement total de 261 millions d'euros, est composée de 262.080 panneaux photovoltaïques installés sur 2.520 modules déployés sur une superficie de 250 hectares.
La centrale d'Amareleja, du groupe Amper Central Solar, filiale à 100% de l'espagnol Acciona, se trouve dans la région de l'Alentejo, qui accueille près de 80% des centrales solaires au Portugal.
Les panneaux solaires sont fournis par le fabricant chinois Yingli, et ont la capacité de suivre la trajectoire du soleil tout au long de la journée.
Cependant il faut émettre un bémol sur les bienfaits de ce type de centrale, quand on sait que les usines chinoises qui produisent ces panneaux sont parmis les plus polluantes au monde.
l'énergie utilisée pour les fabriquer ( très importante) est issue de centrales au charbon, qui libèrent énormément de pollution, quand aux normes sociales, elles sont souvent assez scandaleuses.
Saluons tout de même les efforts qui sont déployés pour produire de plus en plus d'énergie propre, mais regrettons que les réalités économiques posent une belles tache d'ombre sur un projet magnifique. Il reste donc quelques nuages bien gris au dessus de Amareleja...

dimanche 4 janvier 2009

Sortie du "Retour à la terre" Tome 5!


"Que se passe-t-il lorsqu'un natif de Juvisy, riante bourgade de la banlieue parisienne, part s'installer à la campagne au milieu des veaux, vaches, cochons ? Au minimum, un énorme choc culturel. Il faut apprendre à parler le patois, découvrir les effets de l'alcool local et surtout se désintoxiquer du périf."
C'est le pitch de départ d'une BD qu'on adore vraiment chez Green-O-Rama et qui s'intitule "Le retour à la terre". C'est scénarisé par Jean-Yves Ferri et les dessins sont de Manu Larcenet. Le natif de Juvisy en question, c'est un peu l'alter ego en BD de Larcenet, il s'appelle Manu Larssinet, et il est... dessinateur de BD, ce qui donne des imbroglios très drôle entre le vrai Manu et celui de la BD, qui lui aussi illustre une BD... "Le retour à la terre"!...
Le tome 1, sorti en 2002, nous entrainait aux "Ravenelles", en compagnie de personnages hyper attachants et plein d'humour et de tendresse! Manu et Mariette y rencontraient alors la Mortemont, M. le maire, et cette fameuse boulangère, qui aux dire de Manu (Larssinet?...) est une vraie bombe!
Et bien l'eau a coulé sous les ponts, et nous en sommes aujourd'hui au tome 5, qui est sorti depuis très peu chez l'éditeur Dargaud dans la collection "Poisson pilote", et on vous conseille, si vous ne connaissez pas, de vous ruer sur cette serie vraiment extra!
Alors rien que pour vous, Quelques extraits...
...et une interview de Manu Larcenet: