Nous, on les trouve vraiment belles ces bicyclettes là...
jeudi 20 août 2009
Le vélo, c'est design et écologique!
Le vélo c'est écolo!
Nous le savons tous, mais si l'utilisation du vélo est écolo, sa conception ne l' est pas forcement!
Un vélo éco-design, voilà qui serait génial...
Et bien nous l'avons trouvé, il s'appelle B20 et il est en bambou, enfin, le cadre est en bambou, car il n'y a toujours pas moyen de faire des pneus en bois!
Conçu par l'agence de design Fritsch Associés, le B20 fait sensation, il faut dire qu'il est novateur et esthétiquement réussi. De plus son cadre en fibre de bambou conserve un aspect à la finition "bois naturel", on voit donc tout de suite que ce vélo là est spécial!
Simple et minimaliste, B2O est un vélo respectueux de l’environnement. Son cadre et sa fourche, entièrement réalisés à partir de fibre de bambou, valorisent les grandes qualités de résistance de ce matériau naturel dont la croissance est rapide.
Les collages ainsi que les finitions sont réalisées avec des produits bio. Le freinage est assuré par rétro pédalage et le passage des huit vitesses se fait au moyeu, ce qui renforce la notion d’épure et de minimalisme du dessin.
Chez Fritsch Associés, ils n'en sont pas à leur coup d'essai en terme de vélos en bois, après un premier prototype en 1997, c'est la naissance du vélo hermes:
Vélo dont la structure cadre est réalisée en bambou naturel, dessiné pour Hermès en 1999.
Ce vélo haut de gamme utilise un maximum de matières naturelles : jantes en bois, selle en cuir, poignées en liège et fil de lin.
Nous, on les trouve vraiment belles ces bicyclettes là...
mercredi 19 août 2009
La polémique autour du bio refait surface!
La polémique sur le bienfait du bio fait son grand retour .. D’après une étude, réalisée par des chercheurs de l’Ecole d’hygiène et de médecine tropicale de Londres en juillet dernier, la nourriture biologique n’est pas meilleure d’un point de vue nutritionnel que celle produite de façon plus « conventionnelle »: Sur le fond, cette nouvelle étude va à contre-courant de précédents travaux.Des chercheurs de l’université de Californie avaient montré en mars 2007 que la valeur nutritionnelle de kiwis issus de l’agriculture bio était supérieure à ceux de l’agriculture conventionnelle, les premiers contenant plus de polyphénol, censé lutter contre le cholestérol, et d’antioxydants, qui combat e vieillissement des cellules, que les seconds.Sur la méthode le Mouvement pour les droits et le respect des générations futures, qui lutte contre le recours aux pesticides, estime que l’étude britannique est « tronquée » car elle fait la synthèse de 55 études seulement, alors que les scientifiques en avaient retenu 162 dans un premier temps.Il est vrai qu’il est extrêmement difficile de relier le type d’agriculture et ses effets sur la santé. De nombreuses études ont néanmoins essayé d’évaluer les bénéfices du bio. Les résultats sont… inégaux !Petite comparaison entre les différents résultats : tout d’abord il est bon de rappeler que l’une des principales différences entre une exploitation « classique » et une exploitation « biologique », c’est le type d’engrais utilisé.Ainsi, les fertilisants employés dans le bio sont des produits naturels. Or les engrais chimiques utilisés dans les exploitations traditionnelles sont en général plus efficaces. Ils vont notamment apporter une plus grande quantité d’azote, élément indispensable à la plante pour fabriquer des protéines. Les végétaux non bio, nourris avec ces engrais, seront ainsi plus riches en protéines. Mais ces protéines seraient de moins bonne qualité : elles seraient moins riches en acides aminés essentiels, indispensables à notre organisme.Cette différence de qualité n’a pas été retrouvée par toutes les études. Certaines ont même trouvé un résultat inverse, en faveur de l’agriculture traditionnelle ! De plus plusieurs études se sont penchées sur la teneur en vitamines, minéraux et oligo-éléments des fruits et légumes, selon leur origine bio ou non. Mais les chercheurs se sont vite aperçus que la richesse en telle ou telle molécule dépend en fait de nombreux facteurs : variété cultivée, nature du sol… Pourtant, les produits traditionnels mettent souvent plus longtemps avant d’arriver dans votre assiette : ils sont cueillis avant maturité puis stockés. Or cette récolte précoce devrait théoriquement nuire à leur teneur en vitamines et minéraux. Dans les faits ce ne semble pas être le cas. Des chercheurs qui ont ainsi comparé des cultures bio ou non ont conclu que les facteurs déterminant étaient essentiellement… les conditions climatiques ! Le seul élément pour lequel les produits bio semblent posséder l’avantage, c’est la teneur en vitamine C. En ce qui concerne les pesticides les études sont en faveur des produits bio : leur utilisation (pour les pesticides chimiques du moins) est interdite. Les résidus à la surface des fruits et légumes sont donc quasi-inexistants. Mais il faut souligner que les normes auxquelles sont soumis les produits traditionnels sont extrêmement strictes. Ainsi, la présence de résidus est rare chez ces derniers et la plupart du temps en deçà des seuils préconisés. Pour ce qui est de la contamination par des métaux lourds, il faut souligner que ce problème dépend des sols et non de la nature de l’exploitation. Les risques sont donc équivalents. Enfin, il faut souligner que les produits biologiques contiennent théoriquement moins de nitrates (grâce aux engrais organiques qui ont remplacé les engrais chimiques). Or à hautes doses ceux-ci sont cancérigène et peuvent dans certains cas provoquer des problèmes sanguins.
Enfin certains soulignent que dans le bio les microbes sont plus présent:l’utilisation d’engrais biologiques va entraîner un risque plus grand de contamination par divers microbes. Cela est d’autant plus vrai que l’utilisation d’antibiotiques est limitée. Autre problème : la contamination durant le stockage. Entre la récolte et la vente, des champignons peuvent se développer à la surface des fruits et des légumes. Or certains fabriquent un véritable poison pour l’homme : les mycotoxines. En agriculture traditionnelle, un traitement antifongique est parfois appliqué de manière préventive. Ce traitement n’existe pas pour les produits bio. Mais pour l’instant, rien ne prouve que les consommateurs soient plus exposés.
Bref pour finir il est vrai qu’il est difficile de s’y retrouver dans toutes ces études ! …alors pro ou anti bio?
mardi 18 août 2009
Des bancs publics eco-design!
4000 briques de lait pour faire un banc…c’est l’idée des designers Antoine Fenoglio et Frédéric Lecourt, plus connu sous le nom des Sismo, qui viennent de concevoir pour Tétra Pack un banc public fabriqué à partir d’emballages de briques alimentaires usagées! Petite explication : en 2008, environ 35 000 tonnes de briques alimentaires ont été recyclées en France. Mais que deviennent-elles ? Pour faire simple : rien ne se perd ! Les matériaux qu’elles contiennent, à savoir le carton, l’aluminium et le polyéthylène, sont tous les trois récupérés puis valorisés. La « pulpe » de carton peut en effet servir à la fabrication d’essuie-tout, de sacs en papier ou de papier toilette tandis que les fragments de polyéthylène et d’aluminium peuvent être transformés en piquets de vigne, en poteaux de clôture et même bientôt… En bancs publics !Transformer les briques alimentaires usagées en mobilier urbain, c’est l’étonnante idée qui a récemment été soumise à la société suédoise Tétra Pak par l’agence de design Carré Noir et deux créateurs industriels, les Sismo. Partenaires « de création » depuis deux ans, les deux structures ont imaginé ensemble un banc entièrement fabriqué à partir d’un mélange d’aluminium et de polyéthylène, deux matériaux qui restaient jusqu’ici difficiles à valoriser mais qui, une fois mélangés, présentaient pourtant de nombreuses qualités techniques : bonne densité, résistance, pérennité dans le temps… « Afin de toutes les exploiter, il est nous est tout suite paru plus intéressant de fabriquer des pièces de grandes dimensions destinées à orner les villes, plutôt que de petits gadgets dont on peut facilement se passer », explique Antoine Fenoglio, l’un des deux Sismo..
Depuis l’idée a fait du chemin puisque deux prototypes du banc ont été fabriqués. Une belle réussite sachant que chacun d’entre eux permet, à lui tout seul, de valoriser 4.000 emballages. « Ce banc est une vraie réponse aux problématiques environnementales, se félicite Antoine Fenoglio. Grâce à sa composition, il vient boucler la boucle du recyclage ». Pour insister sur ce caractère vertueux, les designers ont d’ailleurs décidé d’instaurer un lien privilégié entre le banc et l’univers du végétal. Dans le premier modèle, l’assise accueille ainsi un pot de fleurs et dans le deuxième, c’est un tronc d’arbre qui sert de dossier ! Enfin Si le produit est déjà bien finalisé, reste encore à lui apporter quelques améliorations, notamment à trouver « le bon dosage » pour les matériaux recyclés et, bien sûr, à trouver des collectivités intéressées. La présentation officielle est prévu pour septembre 2009 à Saint-Etienne!
lundi 17 août 2009
une électricité produite à base de viande avariée!
Ce soir une nouvelle que l’on a lu dans la presse et qui nous vraiment fait réfléchir…A lire absolument…
Que faire des lots de steaks et de bavettes qui n’ont pas trouvé preneur en supermarché ? Pensant faire un geste pour la planète, la chaîne de grande distribution britannique Tesco donne depuis mars dernier sa viande avariée à une société qui s’est spécialisée dans la production d’énergie à partir de déchets de nourriture. Une initiative qui a déclenché la colère des végétariens britanniques. »Transformer cette viande avariée en énergie pourrait sembler une bonne idée en apparence, mais vous devez vous demander pourquoi il en reste tant et pourquoi tant d’animaux meurent pour alimenter ce gaspillage », a écrit la semaine dernière dans un communiqué l’association Viva (Vegetarians international voice for animals) qui dénonce une idée « macabre ». »La quantité de viande gaspillée dans nos magasins ne représente que moins d’1% de la totalité de nos déchets et une part minuscule de la viande vendue », a tenté d’expliquer un représentant de Tesco, interviewé par le journal The Telegraph.Mais Viva exige que les consommateurs soient au moins informés si l’électricité qu’ils consomment a été générée à partir de viande avariée. Avec 5.000 tonnes de steaks par an, Tesco et son partenaire PDM espéraient fournir assez d’énergie pour 600 foyers par an.
Affaire à suivre…
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mardi 11 août 2009
Via Lattea, de l'éco-design dans l'air du temps...
Comme vous le savez, chez Green-O-Rama, la déco et le design, on adore!
Alors dès qu'on découvre des nouveautés ou des objets qui nous font craquer en terme de design écolo, on s'empresse de vous en parler.C'est aujourd'hui pour "Via Lattea" que nous avons succombés!
Issu de l'imagination de Mario Bellini, créateur italien né à Milan en 1935 et diplômé de "Politecnico di Milano" en 1959, aujourd'hui designer reconnu dont la plupart des créations font désormais partie de la collection permanente du musée d'art moderne de New-York, pour Meritalia, marque design créée en 1987.
Via Lattea, se sont des canapés et des poufs "Créés à partir de sac en fibres recyclés qui servait autrefois à transporter le sucre ou les céréales, ces sacs très résistant ont été gonflé d’air pour en faire des fauteuils (canapés, poufs, …) très design, léger et simple."
Via Lattea est disponible en pièces et permet ainsi de créer sa propre configuration très facilement, long canapé, canapé d'angle, bref tout ce qui vous passe par la tête! Chaque pièce dispose en plus de luminaires basse consommation qui illuminent les sièges de l'intérieur et leur donnent un look vraiment spatial!
Alors dès qu'on découvre des nouveautés ou des objets qui nous font craquer en terme de design écolo, on s'empresse de vous en parler.C'est aujourd'hui pour "Via Lattea" que nous avons succombés!
Issu de l'imagination de Mario Bellini, créateur italien né à Milan en 1935 et diplômé de "Politecnico di Milano" en 1959, aujourd'hui designer reconnu dont la plupart des créations font désormais partie de la collection permanente du musée d'art moderne de New-York, pour Meritalia, marque design créée en 1987.
Via Lattea, se sont des canapés et des poufs "Créés à partir de sac en fibres recyclés qui servait autrefois à transporter le sucre ou les céréales, ces sacs très résistant ont été gonflé d’air pour en faire des fauteuils (canapés, poufs, …) très design, léger et simple."
Via Lattea est disponible en pièces et permet ainsi de créer sa propre configuration très facilement, long canapé, canapé d'angle, bref tout ce qui vous passe par la tête! Chaque pièce dispose en plus de luminaires basse consommation qui illuminent les sièges de l'intérieur et leur donnent un look vraiment spatial!
samedi 8 août 2009
L'éolienne de Saint -Arnac...tout un programme!
Petite vidéo d'une construction d'une éolienne... vous verrez c'est assez impressionnant! on précise qu'il s'agit de la construction de l'éolienne de Saint-Arnac à côté de Saint Paul de Fenouillet...
On en profite pour remercier le fondateur de "Ariege contre la machine" qui lutte pour la défense écologique et culturelle de l'Ariege. D'ailleurs si vous voulez soutenir son action il y a une boutique en ligne où vous trouverez de nombeux tee-shirt femme homme enfant ainsi que des bodys pour les bébés avec sur chacun d'eux un message pour la défense de l'Ariege...
Bon week-end à tous...
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